jeudi 29 mai 2014

Melbourne transition

Sur le chemin du retour, j'ai fait étape en Australie, à Melbourne, chez des amis rencontrés sur la route. J'avais passé quelques jours à Sydney à l'aller, sans être réellement conquise. Certes, on y trouve :

le fameux opéra


les montagnes bleues à une heure de train: 



et de drôles d'oiseaux en pleine ville


... mais à mes yeux, Sydney reste avant tout une grande ville à l'américaine.

Melbourne, en revanche, m'a rapidement séduite. Située en bord de mer, elle garde des restes d'architecture victorienne mêlés à la modernité la plus récente. On y trouve des quartiers avec leur propre identité, certains d'affaire, d'autres bohèmes, d'autres d'immigration (Chinatown, Italien...). En flânant dans ses rues ou à la descente d'un tramway, on peut tomber sur un concert, une impro, quelques notes de musique, une mélodie... Les musiciens y sont nombreux, dans la rue comme dans les salles et les bars. C'est une cité internationale et multiculturelle. En dépit de ses 4 millions d'habitants, on s'y sent bien et on peut facilement y passer une semaine, entre la great ocean road pour les excursions, la plage (Saint-Kilda, Brighton...), les montagnes alentours, et la ville elle-même: déambuler dans China Town, arpenter le Queens Victoria's Market, découvrir l'art australien, aborigène et occidental, parcourir les galeries, bars et restaurants... Ajoutez à cela une cuisine du monde entier (afghane, italienne, chinoise, africaine, européenne, bretonne...), et l'on comprend qu'elle soit classée parmi les villes les plus agréables à vivre. 




Bye bye, l'Australie, l'hémisphère Nord a fini par m'appeler, à la faveur de l'été...





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